Connaissez-vous les maladies que la vaccination peut aider à prévenir? Vous pouvez en savoir plus ici.
12.07.2023
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Les vaccins peuvent nous protéger contre des maladies en ce sens qu’ils rendent notre corps immun d’une manière intelligente: ils permettent à notre organisme de reconnaitre des substances comme étant une infection comme par exemple, un virus ou des composants d’une bactérie. Cela incite le système immunitaire à produire des anticorps et à activer une mémoire immunitaire protégeant le corps lorsqu’il est confronté à l’infection réelle. Cette immunité acquise après la vaccination peut être maintenue pendant des années, des décennies, voire même pour la vie.
L’aperçu suivant montre quelques maladies et infections qui peuvent être évitées grâce aux vaccins (Etat: juin 2023)
01.
Papillomavirus humains
Les papillomavirus humains (HPV) sont largement répandus. Jusqu’à présent, 200 types du virus ont été recensés. On distingue les types de HPV à haut risque et à faible risque. Ces derniers peuvent provoquer des verrues génitales chez les femmes et les hommes. Il s’agit de modifications cutanées (papules) sans danger, mais assez disgracieuses et désagréables, apparaissant sur les parties génitales. Les types à haut risque peuvent provoquer certains cancers chez les femmes et chez les hommes, comme le cancer du col de l’utérus ou le cancer du vagin, du pénis, de l’anus et du larynx.
02.
Hépatite B
L’hépatite B est une inflammation du foie (ictère, jaunisse) provoquée par une infection par le virus de l’hépatite B (VHB). La transmission du virus se fait par contact avec du sang ou des liquides corporels issus d’une personne infectée (par exemple, lors de rapports sexuels). L’hépatite B est hautement contagieuse. L’infection est considérée comme étant chronique lorsque les virus sont décelables plus de six mois dans le sang. L’OMS estime qu’au niveau mondial, deux milliards de personnes sont infectées par le virus de l’hépatite B (VHB). Parmi elles, 257 millions ont une maladie chronique et plus de 880’000 décèdent chaque année de ses suites. En Suisse, environ 44’000 personnes vivent avec une hépatite B.
03.
Maladie invasive à pneumocoque (MIP)
Une MIP est causée par la bactérie Streptococcus pneumoniae, connue aussi sous le nom de pneumocoque. Les maladies à pneumocoques surviennent dans le monde entier sous forme sporadiques, les flambées sont rares. Chaque année, elles touchent plusieurs millions de personnes et plus d’un million en meurent, beaucoup malgré un traitement antibiotique administré à temps. Chez les enfants en-dessous de 2 ans, les personnes âgées de plus de 65 ans de même que chez les personnes de toutes les classes d’âge souffrant de maladies chroniques telles qu’une affection cardiaque ou pulmonaire chronique, la charge de morbidité est particulièrement élevée. En Suisse, on recense environ 1000 cas sévères de maladies à pneumocoques par année, se manifestant le plus souvent sous forme de pneumonie, plus rarement par un empoisonnement du sang ou une méningite. Les personnes les plus touchées sont les enfants de moins de 2 ans et les personnes de plus de 65 ans. Près de 100 malades décèdent chaque année, dont environ 80% sont âgés de plus de 65 ans.
04.
Varicelle
Avec la varicelle, il s’agit d’une maladie infectieuse causée par le virus varicelle-zona (appelé VZV, pour varicella-zoster virus) hautement contagieux. Le virus déclenche une éruption vésiculeuse, des démangeaisons, de la fatigue et de la fièvre. La varicelle survient durant l’enfance mais tout un chacun n’ayant encore jamais eu la varicelle peut la contracter plus tard.
05.
Rougeole
Avec la rougeole, il s’agit d’une infection virale hautement contagieuse qui peut survenir à tout âge. Elle se manifeste par de la fièvre, de la fatigue, des douleurs abdominales, une photosensibilité excessive, une inflammation de la muqueuse buccale, et s’accompagne souvent de toux, de rhume et de maux de gorge. Les cas ne présentant pas de complications guérissent assez rapidement en n’occasionnant aucune séquelle durable. Il existe toutefois un risque de complications telles qu’une encéphalite (1 cas sur 1’000), une pneumonie (10 à 60 cas sur 1’000) ou une otite (inflammation de l’oreille moyenne). Parfois, les complications de la rougeole amènent à la mort.
06.
Oreillons
Avec les oreillons, il s’agit d’une maladie contagieuse causée par un virus. Au début de la maladie, des céphalées, un malaise et de la fièvre font partie des symptômes suivis par un gonflement caractéristique des glandes salivaires. En général, les oreillons sont une maladie infantile bénigne qui concerne avant tout les enfants entre cinq et neuf ans. Néanmoins, des adultes peuvent aussi contracter les oreillons, ce qui peut être lié à des complications sévères.
07.
Rubéole
Avec la rubéole, il s’agit d’une infection virale contagieuse qui se caractérise, en général, par une évolution légère de la maladie qui peut survenir surtout durant l’enfance et l’adolescence. En principe, alors que la maladie progresse modérément chez les enfants, elle peut avoir des conséquences particulièrement sérieuses pour les femmes enceintes et conduire au décès du fœtus ou à des malformations congénitales connues sous le nom d’embryopathies rubéoleuses. Le virus de la rubéole se transmet par des gouttelettes expulsées par des personnes infectées lorsqu’elles éternuent ou elles toussent. L’homme est l’unique hôte connu du virus.
Les 130 ans d'histoire de MSD ont été marqués par de nombreuses femmes.
20.06.2023
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Nous présentons huit femmes remarquables qui ont ouvert la voie aux générations futures.
01.
Ann Colon,
la première femme à fêter ses 50 ans de carrière chez MSD.
Anna «Ann» Colon commence à travailler chez MSD en 1919, au département de conditionnement. En 1933, elle est nommée à un poste de responsable.
Lorsqu’elle prend sa retraite après plus de 50 ans de carrière chez MSD, elle est la plus ancienne collaboratrice de l’entreprise.
02.
Grace Winterling,
la première femme à occuper un poste de direction chez MSD.
Grace Winterling commence sa carrière pendant la deuxième guerre mondiale au département «Priorities» avant d’assurer la supervision des départements Systèmes et procédés, Planification organisationnelle et Services administratifs.
En 1954, elle devient assistante administrative du secrétaire. En 1957, elle accède au poste de secrétaire-adjointe, une fonction qui fait d’elle la première femme à entrer à la direction de MSD. La nomination d’une femme à un poste de direction était si remarquable qu’elle a fait les titres de la presse locale.
Après 15 ans à la direction, Grace est nommée présidente de la fondation de l’entreprise, qui soutient encore à ce jour des organismes philanthropiques et caritatifs, qualifiés et éligibles. En 1983, Grace prend sa retraite après 40 ans au sein de notre entreprise.
03.
Susan Jenkins,
la première chimiste d’origine afro-américaine chez MSD.
Susan R. Jenkins devient en 1957 l’une des premières chimistes afro-américaines de MSD Research Laboratories (MRL), où elle se consacre notamment à la synthèse des enzymes.
Elle passe ensuite au département du personnel, où elle occupe différents postes de manager, avant de devenir Senior Vice President Human Resources.
04.
Marian S. Heiskell,
la première femme au conseil d’administration de MSD.
Marian S. Heiskell, Director of special activities à la New York Times Company, devient en 1973 la première femme élue au conseil d’administration de MSD.
Elle conserve ce poste pendant 18 ans, avant de le quitter en 1991. Marian Heiskell, philanthrope et éditrice en chef renommée, décède en 2019 à l’âge de 100 ans.
05.
Dorothy Bowers,
la première Vice President für Environmental and Safety Policy de MSD.
Dorothy Bowers entre chez MSD en 1974 en tant qu’ingénieure à l’«Environmental Department».
En 1982, elle est promue au poste de Senior Director of Environmental Control. Dix ans plus tard, elle est nommée à un poste nouvellement créé: Vice President of Environmental and Safety Policy. Dorothy Bowers s’emploie alors à faire de MSD un leader dans le domaine de la protection environnementale. Elle introduit de nombreux processus de réduction des émissions et du déversement de substances chimiques et fait de MSD l’une des premières entreprises à s’engager publiquement à réduire la pollution environnementale.
En 1999, elle prend sa retraite après 25 ans de bons et loyaux services, ayant contribué à faire de la protection de l’environnement l’une des priorités absolues de notre entreprise.
06.
Christine Stubbs,
la première femme à décrocher un diplôme d’ingénieure chimiste à la Howard University.
Christine «Chris» Stubbs entre chez MSD en 1983 en tant que première femme à décrocher un diplôme d’ingénieure à la Howard University.
Elle devient alors l’une de nos collaboratrices les plus actives dans le domaine de l’égalité des chances. Au bout de 10 ans de carrière chez MSD, Chris est responsable de la gestion des matériaux sur le site de production de Flint River à Albany, en Géorgie, qui compte 31 employés. Outre cette ascension remarquable, c’est son travail de promotion de la diversité qui lui a valu de décrocher le prix «Black Engineers of the Year 1993» décerné par la revue U.S Black Engineer.
07.
Dr. Johnnetta B. Cole,
la première femme afro-américaine au conseil d’administration de MSD.
Le Dr Cole entre en 1994 au conseil d’administration de MSD, où elle reste jusqu’en 2009.
Elle fut également la première présidente afro-américaine du célèbre Spelman College pour les femmes afro-américaines et la première femme afro-américaine au conseil d’administration de la Coca-Cola Company.
Depuis 1997, le Dr Cole contribue à promouvoir la diversité comme investissement intelligent pour les entreprises. Elle déclare: «Demandons-nous si la diversité au sein de la main-d’œuvre américaine est le bon choix ou le choix intelligent. La réponse est: les deux.»
08.
Deborah Dagit,
la première Chief Diversity Officer de MSD.
Deborah Dagit travaille pendant 12 ans chez MSD comme première responsable de la diversité.
Elle joue un rôle considérable dans l’adoption de la loi américaine sur les personnes atteintes de handicap (Americans with Disabilities Act) en 1990. Elle aide alors notre entreprise à associer directement des initiatives de diversité et d’inclusion à ses pratiques commerciales et à ses résultats. En 2010, elle a fondé les Employee Business Resource Groups (EBRG) de MSD, qui sont toujours actifs aujourd’hui. Elle a quitté l’entreprise en décembre 2012.
Nous encourageons l’innovation par la diversité et l’intégration
MSD favorise à l’échelle internationale une atmosphère de travail dans laquelle chacun se sent bien, indépendamment de la culture, de l’âge, de l’orientation sexuelle ou du genre. La diversité et l’inclusion font depuis longtemps partie intégrante de notre culture d’entreprise. Cela se reflète également dans les chiffres: par exemple, quelque 50% des postes de direction, en Susse et à l’internationale, sont occupés par des femmes.
MSD Women’s Network
En 1995, des collaboratrices de MSD se sont rassemblées pour fonder le MSD Women’s Network aux États-Unis. Ce réseau se consacre à l’égalité des genres. Il dispose désormais de 57 chapitres dans le monde et compte plus de 9000 membres, hommes et femmes.
En Suisse, quelque 400 collaborateurs et collaboratrices se sont engagés au sein du MSD Women’s Network.
MSD en tant qu’employeur
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Dr. Maurice Hilleman: «Le père des vaccins modernes»
25.05.2023
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Le domaine des vaccins appartient à l’histoire de MSD et il est étroitement lié au Dr Maurice Ralph Hilleman (1919-2005), le père de la science moderne des vaccins. Durant sa carrière de près de 30 ans chez MSD, il a développé plus de 40 vaccins pour les hommes et les animaux. Cet héritage se poursuit aujourd’hui grâce à nos recherches engagées.
L’histoire des vaccins modernes a débuté en 1796 lorsque le Dr Edward Jenner a vacciné James Phipps âgé alors de 8 ans avec la variole de la vache (vaccine) pour le protéger de la variole. Jenner a utilisé le terme «vaccination» (immunisation), tiré du latin «vacca» qui signifie «vache». Effectivement, on sait depuis des siècles qu’après leur guérison, certaines maladies ne peuvent plus jamais infecter les personnes. La variole a été la première maladie que l’on a voulu empêcher grâce à une vaccination ciblée avec une substance infectée.
Huit décennies après que le Dr Jenner ait publié ses résultats, Louis Pasteur a développé le premier vaccin basé sur une bactérie atténuée. Le procédé d’atténuation d’une bactérie ou d’un virus dans un vaccin fait en sorte qu’il est peu probable que ce dernier soit la cause d’une maladie. Cependant, il déclenche une réponse immunitaire similaire à celle provoquée par l’infection naturelle. Bien des décennies se sont écoulées jusqu’à ce que des progrès dans les connaissances de base et la recherche aient permis aux scientifiques de bien comprendre les virus de telle manière qu’avec le développement des vaccins, ils ont pu débuter la protection contre des maladies virales.
DR. MAURICE HILLEMAN
Jonas Salk et Albert Sabin font partie des scientifiques qui ont fait de grands progrès dans la lutte contre les maladies virales. Le Dr Maurice Hilleman qui a dirigé le département de biologie virale et cellulaire de MSD de 1956 à 1984 a également fait partie de ce groupe prestigieux de pionniers dans le domaine de la vaccination. L’engagement passionné du Dr Hilleman qui a contribué au développement de plus de quarante vaccins est encore aujourd’hui une source d’inspiration pour les scientifiques dans les laboratoires de recherche médicale.
Maurice Hilleman a grandi dans une ferme dans le Montana. La vie dure a été une base solide de son parcours ultérieur. «Si tu grandis dans une ferme, tu acquiers une grande culture générale» a-t-il affirmé plus tard. Après ses études à l’Université de Chicago couronnées par un doctorat en microbiologie et en chimie, le Dr Hilleman a décidé de travailler pour l’industrie pharmaceutique plutôt que pour la science.
Malgré ses prestations extraordinaires, entre autres dans le développement de plus de 40 vaccins pour les hommes et les animaux, le nom du Dr Maurice Hilleman reste inconnu dans le public et dans la presse. Son influence sur la santé, publique est pourtant incontestable.
«Depuis Pasteur, il a fait plus pour la médecine préventive que toute autre personne.»
Dale C. Smith
Historien-chef de l’Uniformed Services University of the Health Sciences, Bethesda, MD
«Il voulait créer quelque chose d’utile et lui trouver une application clinique. Grâce à son ingéniosité, il a été en mesure de développer des vaccins et de les reproduire de manière fiable. Il a été responsable de tous les aspects – depuis la recherche jusqu’à l’introduction sur le marché.»
Paul Offit
Directeur du département des maladies infectieuses, Hôpital des enfants de Philadelphie et biographe du Dr Hilleman
En 1988, le Président Ronald Reagan a décerné la National Medal of Science au Dr Hilleman. En 1997, il a été honoré avec l’Albert B. Sabin Gold Medal Award. Le Dr Anthony Fauci, Directeur du National Institute of Allergy and Infectious Diseases a dit du Dr Hilleman qu’il était l’un des véritables géants de la science, de la médecine et de la santé publique du 20e siècle.
La lutte contre la résistance aux antibiotiques est plus importante que jamais. Voici pourquoi.
Depuis leur mise au point, les antibiotiques ont transformé les soins de santé et sauvé d'innombrables vies dans le monde. Mais l'augmentation des niveaux de résistance aux antimicrobiens (RAM) rend les antibiotiques actuels moins efficaces.
18.05.2023
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Il n’existe pas de solution unique ou simple au problème complexe de la RAM, mais nous nous engageons à investir notre expertise et nos ressources aux côtés de nos partenaires afin de fournir les antibiotiques indispensables à ceux qui en ont le plus besoin. Des vies sont en danger et il est grand temps d’agir.
Fidèles à notre longue tradition en matière de prévention et de traitement des maladies infectieuses, nous sommes fiers de nous engager à investir 100 millions de dollars sur 10 ans dans le nouveau Fonds d’action contre la RAM. Grâce à ce partenariat novateur entre des sociétés pharmaceutiques de premier plan, des organisations philanthropiques, des banques de développement et des organisations multipartites, nous voulons combler le fossé entre l’apport d’antibiotiques précoces innovants et les patients. Il est urgent de trouver de nouveaux antibiotiques. Avec ce nouveau fonds pour la recherche et le développement d’antibiotiques, notre objectif conjoint est de mettre d’ici la fin de la décennie deux à quatre nouveaux antibiotiques à la disposition des patients et des médecins.
Voici cinq raisons essentielles de s’appuyer sur ces efforts de collaboration pour lutter contre la RAM:
01.
Il faut de nouveaux antibiotiques de toute urgence. Cependant, il y en a relativement peu en développement.
La RAM est un phénomène naturel par lequel les bactéries développent des défenses contre les antibiotiques. La nature de la résistance implique de devoir développer en permanence de nouveaux antibiotiques afin de garder une longueur d’avance sur les pathogènes résistants.
MSD est engagée dans la R&D sur les antibiotiques depuis plus de 80 ans et a proposé de nouveaux traitements chaque décennie. Cependant, d’importants défis scientifiques, réglementaires et économiques découragent l’innovation dans le domaine des antibiotiques, ce qui a entraîné une baisse significative du nombre d’entreprises menant des activités de R&D sur les antibiotiques et les antifongiques ces vingt dernières années. Reconnaissant qu’il est peu probable qu’il existe une solution unique au problème, MSD et d’autres entreprises ont proposé une série de réformes politiques dans plusieurs régions du monde. Malgré tout, le temps manque. Nous avons besoin de la collaboration des décideurs politiques du monde entier pour permettre à l’innovation en matière d’antibiotiques de prospérer pendant les décennies à venir.
02.
Une fois les nouveaux antibiotiques approuvés, ils doivent être utilisés d’une manière appropriée.
S’il est important de développer de nouveaux antimicrobiens, il est tout aussi essentiel de ralentir la résistance aux médicaments actuels. Une antibiothérapie appropriée peut jouer un rôle important dans le traitement des patients atteints d’infections résistantes et dans la préservation de l’efficacité des antibiotiques.
Nous devons travailler ensemble pour mettre en œuvre des politiques et des programmes basés sur des facteurs éprouvés, qui favorisent la prescription et l’utilisation appropriées des antimicrobiens. Chez MSD, nous réalisons d’importants investissements pour soutenir la gestion des antimicrobiens (AMS), en aidant les hôpitaux à développer et à mettre en œuvre des programmes AMS centrés sur le patient et personnalisés au niveau local en fonction de facteurs tels que l’épidémiologie, le contexte clinique et la disponibilité des ressources. Nous offrons également des subventions importantes pour soutenir un grand nombre d’initiatives et de collaborations de l’AMS.
Certaines de nos contributions mondiales à l’AMS:
Soutien au développement de plusieurs centres d’excellence de l’AMS à travers le monde
Aide aux responsables de santé publique à surveiller et à traiter efficacement les infections émergentes liées à la RAM, à promouvoir l’AMS et à adapter aux besoins locaux les stratégies AMS bien acceptées
Contribution à l’élaboration de mesures de résultats normalisées et significatives en matière de sécurité des patients pour les programmes AMS des hôpitaux américains
Financement d’une série de bourses de découverte (petites subventions de démarrage pour aider les innovateurs en matière de diagnostic à faire éclore leurs idées et à améliorer leurs chances de remporter le prix Longitude, au Royaume-Uni)
03.
Nous devons suivre les tendances relatives à la pharmacorésistance et utiliser les données pour informer sur les conditions de prescription.
Pour garantir une prescription appropriée des antibiotiques, les directives de traitement clinique doivent rester à jour et tenir compte des tendances relatives à la pharmacorésistance. Les études de surveillance peuvent aider à identifier ces tendances dans l’incidence des agents pathogènes et la RAM, et peuvent également identifier l’émergence de souches résistantes.
Chez MSD, nous travaillons avec les organismes de santé publique, les professionnels de la santé et les sociétés de diagnostic pour informer sur l’utilisation appropriée des antibiotiques en partageant nos données de surveillance. L’un des plus grands programmes de surveillance de la RAM, notre programme SMART (Study for Monitoring Antimicrobial Resistance Trends), a recueilli environ 500 000 isolats bactériens en provenance de 217 sites dans 63 pays depuis 2002. Ces données peuvent contribuer à freiner le développement de la RAM en fournissant des plans de traitement adéquats et des directives de prescription qui garantissent une utilisation appropriée des antibiotiques.
04.
Notre réflexion doit aller au-delà de la santé humaine.
Le défi de la RAM compte de multiples facettes et nous pensons qu’il est essentiel d’adopter une approche unique de la santé pour élaborer des politiques afin de parvenir à une santé optimale pour les personnes, les animaux et notre environnement.
En matière de santé animale, les vaccins doivent être considérés comme une première ligne de défense contre les maladies bactériennes et virales. En prévenant les maladies, les vaccins peuvent contribuer à minimiser le besoin d’antibiotiques. MSD Animal Health est l’un des plus grands fabricants de vaccins pour animaux, fournissant plus de 100 milliards de doses chaque année. Nous sommes également engagés dans des efforts de collaboration pour garantir que les antibiotiques nouveaux et existants sont efficaces aujourd’hui et à l’avenir pour toutes les espèces.
La protection de l’environnement par une fabrication responsable est un autre élément clé d’une approche unique de la santé. Pour lutter contre l’augmentation des niveaux d’antibiotiques dans l’environnement, nous avons engagé plus de 100 millions de dollars pour garantir que les rejets des usines ne présentent pas de risque pour la santé humaine ou l’environnement. Nous avons également travaillé avec nos partenaires de l’AMR Industry Alliance pour définir des objectifs de fabrication fondés sur des éléments scientifiques afin de garantir un examen rigoureux des chaînes d’approvisionnement de l’industrie manufacturière.
05.
Il est temps d’agir contre la RAM.
Nous avons reçu de nombreux avertissements sur les dangers de la RAM. Grâce à la collaboration de la communauté scientifique et des décideurs politiques, il est possible de l’éviter.
Nous avons tous un rôle à jouer dans la préparation de la prochaine crise sanitaire. Nous savons que si nous n’agissons pas, la RAM aura des conséquences mondiales importantes. Nous devons agir maintenant pour mettre en place des mesures pour garantir l’existence d’antibiotiques dont nous avons besoin pour notre génération et celles à venir.
Joindre le geste à la parole: déjeuner de formation sur les HPV
La prévention commence par nous-mêmes! À l’occasion de la Journée mondiale de sensibilisation aux HPV, nous avons rencontré le Dr Alina Staikov, gynécologue, pour un déjeuner de formation. Nous avons ainsi pu apprendre les conséquences que peuvent avoir les papillomavirus humains (HPV) sur notre santé et comment nous protéger, nous et nos proches, contre ces virus et certains cancers qu’ils provoquent.
31 March 2023
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À l’occasion de la Journée mondiale de sensibilisation aux HPV, le 4 mars, notre direction a convié tous les collaborateurs de MSD à un déjeuner de formation avec le Dr Alina Staikov. Cette gynécologue est très impliquée dans la lutte contre le cancer et s’engage pour l’information, le traitement, la prévention et le dépistage.
Quel est le lien entre le cancer et l’HPV ? Les papillomavirus humains peuvent, dans certains cas, provoquer un cancer. La bonne nouvelle est que les personnes informées peuvent se protéger contre les HPV et prévenir les cancers qui y sont liés, ou les faire traiter à temps!
Chez MSD, nous nous engageons pour la prévention et le dépistage du cancer
En tant qu’entreprise pharmaceutique leader dans le domaine de l’oncologie, nous ne nous contentons pas d’informer le public, mais traduisons nos paroles en actes. C’est pourquoi nous organisons régulièrement des événements internes pour nous former, en l’occurrence sur les HPV et leurs conséquences sur la santé. Plus de 50 collègues de l’ensemble des succursales suisses ont profité de l’occasion pour en apprendre davantage et poser leurs questions au Dr Staikov.
Les HPV peuvent provoquer certains types de cancers
Dr Staikov a présenté les principaux faits concernant l’HPV. Elle a expliqué, entre autres, que ces virus sont très répandus et que même les adolescents devraient en être informés, car les jeunes peuvent aussi être infectés. Elle a également expliqué que presque tout le monde est exposé aux HPV au cours de sa vie et décrit ce qui peut arriver si le virus ne disparaît pas de lui-même. Dr Staikov a donc particulièrement souligné les possibilités de prévention et de dépistage précoce. Nous avons aussi pu poser des questions, ce qui a rendu l’événement interactif et vivant. Que retenir et quels messages rapporter chez soi? Découvrez-le dans la section suivante!
Cinq faits que tout le monde devrait connaître sur les HPV
Les papillomavirus humains (HPV) sont très répandus et peuvent survenir aussi bien chez les adolescents que chez les adultes.
La contamination par les HPV se fait de personne à personne, par contact avec la peau et les muqueuses.
Les HPV peuvent provoquer certains types de cancers et certaines lésions précancéreuses.
Les cancers les plus fréquents liés aux HPV sont le cancer du col de l’utérus, le cancer de l’anus et le cancer de la bouche et de la gorge.
Les rapports sexuels protégés et la vaccination peuvent contribuer à la prévention de certaines maladies liées aux HPV.
«Il est primordial que les gens soient informés. À défaut d’information, ils ne peuvent pas prendre de décisions et n’ont pas de choix. »
L’événement nous a offert une formidable opportunité d’apprendre en équipe et de vivre notre culture MSD.
Vous souhaitez en savoir plus sur les HPV?
Plus d’informations à destination des parents, des femmes et des hommes:
Notre engagement en faveur des traitements et de la prévention du VIH au fil des ans
Nous restons à l'avant-garde dans la lutte contre le VIH.
11.04.2023
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Le VIH (virus de l’immunodéficience humaine) demeure une menace majeure pour la santé publique. Ce virus peut provoquer le SIDA.
Depuis 1985, notre société s’est engagée dans des efforts de recherche et de développement (R&D) dans le domaine de la prévention et du traitement du VIH. Au fil du temps, nos scientifiques ont fait des découvertes importantes qui ont révolutionné le traitement du VIH.
Voici quelques moments historiques qui témoignent de ces efforts:
En 1982, les centres américains de contrôle et de prévention des maladies ont utilisé pour la première fois le terme «SIDA», ou syndrome d'immunodéficience acquise, pour décrire le syndrome clinique causé par le virus de l'immunodéficience humaine (VIH). Julie Gerberding, responsable des patients, se souvient: «J'ai commencé ma formation à l'université de Californie à San Francisco au tout début de l'épidémie de sida et j'ai pris en charge les premiers patients qui étaient atteints du SIDA. C'était une maladie vraiment effrayante. Il y avait tellement d'inconnues, notamment le mode de transmission.»
Au milieu des années 80, MSD a lancé son programme de recherche sur le VIH en réponse à ce qu'elle percevait comme une épidémie potentielle. Nos scientifiques ont été parmi les premiers à découvrir et à développer des médicaments pour le traitement du VIH.
Nous avons été les premiers à publier la structure cristalline de la protéase du VIH, une enzyme essentielle à l'infectiosité du virus.
En 1992, MSD s'est joint à d'autres sociétés pharmaceutiques pour créer l'Inter Company Collaboration for AIDS Drug Development afin de rechercher des traitements contre le VIH. En 1993, nous avons entrepris le plus grand programme de recherche de notre histoire, déployant plus de scientifiques pour étudier le SIDA que toute autre maladie et testant des dizaines de milliers de substances.
La communauté VIH/SIDA a continué à réclamer des mesures. En 1995, Linda Distlerath, ancienne directrice exécutive de la politique publique et des affaires publiques des laboratoires de recherche MSD, a passé beaucoup de temps à lire le courrier envoyé par des milliers de malades du SIDA et de militants exhortant MSD à produire rapidement un traitement contre la maladie.
Après des années d'étude et de développement, MSD a mis au point l'un des premiers inhibiteurs de protéase. En 1995, avant l'approbation par la FDA, MSD a proposé, en collaboration avec la Food and Drug Administration américaine, des patients et des groupes de défense du VIH, un programme qui a permis de mettre gratuitement à la disposition de certains patients son nouveau traitement contre le VIH avant sa commercialisation.
En 1996, le traitement contre le VIH a reçu l'approbation de la FDA en un temps record de 42 jours. Il s'agissait d'une première réalisation importante pour faire du VIH une infection à laquelle il est possible de survivre.
En 2012, la fondation NAMES Project (avec le soutien de MSD) a lancé la tournée nationale Call My Name afin d'attirer l'attention sur la trajectoire désolante de l'épidémie de VIH dans les communautés noires des États-Unis. La tournée comprenait la création de nouveaux panneaux pour la courtepointe commémorative du SIDA et des ateliers éducatifs dans 10 villes à forte prévalence.
Daria Hazuda, vice-présidente, biochimiste en maladies infectieuses et directrice scientifique du MSD Exploratory Science Center, a dirigé l'équipe chargée d'identifier de nouveaux moyens d'attaquer et de traiter le VIH.
En 2021, nous avons conclu un accord avec Gilead pour travailler ensemble dans la communauté mondiale de lutte contre le VIH.
Ce qu’il faut savoir sur le cancer et le biomarqueur MSI-H/dMMR
Les patients cancéreux ont besoin d’un traitement qui est le plus adapté à leur maladie spécifique. Les biomarqueurs, les caractéristiques biologiques, qui peuvent être mesurés dans le sang ou dans des échantillons de tissus, constituent une aide. MSI-h/dMMR est un biomarqueur.
19.12.2022
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Le cancer n’est pas seulement une maladie. Il existe de nombreux types de cancer et la maladie peut apparaître partout dans le corps. Elle survient lorsque des cellules saines se développent de manière incontrôlée: Elles deviennent des cellules cancéreuses et détruisent les tissus sains. Les cellules cancéreuses peuvent se propager, se détacher de l’endroit où elles sont constituées et contaminer d’autres zones du corps (métastases). Les patients cancéreux ont besoin d’un traitement qui est le plus adapté à leur maladie spécifique. Les biomarqueurs, les caractéristiques biologiques, qui peuvent être mesurés dans le sang ou dans des échantillons de tissus, constituent une aide. MSI-h/dMMR est un biomarqueur.
Le cancer est la deuxième cause de décès la plus fréquente dans le monde
43’500
En Suisse, près de 43’500 personnes par an sont diagnostiquées avec un cancer, environ 17’200 en décèdent, et 67% sont encore en vie 5 ans après le diagnostic.
19’000’000
En 2020, plus de 19 millions de personnes dans le monde ont reçu un diagnostic de cancer. Près de 10 millions de personnes en sont décédées.
Que se passe-t-il dans le corps lorsqu’un cancer survient?
Toutes les cellules de notre corps doivent remplir certaines tâches. Les cellules normales se divisent de manière ordonnée. Elles meurent lorsqu’elles sont usées ou endommagées et que de nouvelles cellules les remplacent. En cas de cancer, les cellules se divisent de manière incontrôlée et remplacent les cellules normales. Cela entraîne des troubles dans la partie du corps dans laquelle le cancer est apparu. Les cellules cancéreuses peuvent également se propager dans d’autres parties du corps. La plupart des types de cancers forment des nodules, également appelés tumeurs.
Comment se différencient les cancers
Certains types de cancer se développent et se propagent rapidement. D’autres se développent plus lentement. Ils répondent également de différentes manières à un traitement. Ainsi, certains types de cancer peuvent être traités efficacement par une intervention chirurgicale tandis que d’autres nécessitent des médicaments, comme la chimiothérapie, l’immunothérapie ou une association de différents traitements. Souvent, plus d’un traitement est utilisé.
Le rôle des biomarqueurs dans le traitement du cancer
Les biomarqueurs sont des caractéristiques biologiques qui peuvent être mesurées dans le sang ou dans des échantillons de tissus. Ils aident à mieux comprendre un cancer et peuvent fournir des indications sur le choix de l’option thérapeutique. Il existe différents biomarqueurs, MSI-H/dMMR en est un.
MSI-H signifie «High levels of MicroSatellite Instability», en français «instabilité microsatellitaire élevée». La MSI est une modification dans des séquences d’ADN courtes et répétitives (microsatellites) qui sont souvent présentes dans les cellules tumorales de différents types de cancer. Les cellules cancéreuses MSI-H ne peuvent pas corriger les erreurs qui surviennent pendant la réplication de l’ADN.
dMMR signifie «deficient mismatch repair», ce qui signifie en français «système de réparation de l’ADN défectueux». Normalement, le système de réparation de l’ADN intervient lorsqu’il identifie des erreurs et répare ces modifications cellulaires. Si ce système ne fonctionne pas, on parle d’un système de réparation de l’ADN défectueux (dMMR). Un système dMMR défectueux peut entraîner une instabilité microsatellitaire (MSI).
Les tumeurs présentant une instabilité microsatellitaire élevée répondent souvent mieux à certains traitements. Une analyse des biomarqueurs MSI peut contribuer à identifier les patients qui peuvent répondre à un tel traitement.
Comment fonctionne une analyse des biomarqueurs MSI-H/dMMR
Chaque cancer est différent. Afin de mettre en place un plan de traitement adapté à un patient, le médecin peut ordonner des analyses biologiques. Ces analyses servent à examiner la tumeur à l’aide de différents biomarqueurs, dont MSI-H/dMMR.
Un échantillon de tissu (biopsie) de la tumeur sera prélevé et le médecin ordonnera l’analyse.
Le médecin reçoit généralement les résultats après 2 à 10 jours.
Le médecin et le patient discutent des possibilités de traitement sur la base des résultats et décident quel traitement semble le plus approprié.
La recherche sur les biomarqueurs a réalisé jusqu’à présent des progrès significatifs, offrant aux patients cancéreux de nouvelles options thérapeutiques.
CH-NON-00951, 12/2022
Notre engagement
Hypertension pulmonaire
Chaque vie compte et nous incite à faire de notre mieux, jour après jour.
L’hypertension pulmonaire est une maladie chronique, potentiellement mortelle si elle n’est pas traitée. Chez MSD, nous nous engageons en faveur des personnes touchées par cette maladie.
L’hypertension pulmonaire (HP) est une maladie chronique caractérisée par une élévation de la pression sanguine dans les artères pulmonaires. Elle peut entraîner une limitation considérable des capacités physiques et s’avérer mortelle en l’absence de traitement. Il existe diverses options thérapeutiques visant à soulager les symptômes, à stopper la progression de la maladie et maintenir une qualité de vie optimale.
Notre engagement dans le domaine de l'hypertension pulmonaire
Depuis plus de
5
ans, nous nous engageons à améliorer la qualité de vie des patients en Suisse
L'année
2013
a été marquée par la mise sur le marché du premier stimulateur de la guanylate cyclase soluble (GCs) dans le traitement de l'HP en Suisse
Actifs depuis
2016
dans le cadre de partenariats et de projets
Nos partenariats et projets
Collaboration avec la Société Suisse pour l’Hypertension Pulmonaire (SSHP)
La SSHP réunit des experts au sein d’un réseau efficace qui rassemble les connaissances sur l’hypertension pulmonaire depuis plus de 20 ans. Nous apportons à la SSHP un soutien de longue date par le biais de divers projets et initiatives.
Collaboration avec des organisations de patients
Depuis des années, nous collaborons dans le cadre de partenariats avec des organisations de patients et l’Association suisse pour les personnes atteintes d’hypertension pulmonaire.
Séminaires de formation continue et congrès
MSD participe régulièrement au congrès de la Société Suisse de Pneumologie (SSP) et parraine les séminaires de formation continue destinés aux médecins afin de les sensibiliser au diagnostic précoce de l’hypertension pulmonaire.
Recherche clinique
For almost 130 years, we have conducted research worldwide to contribute to better health for our society with our medications and vaccines, for today and future generations. In Switzerland, MSD is currently conducting 42 clinical studies in different areas of therapy (as of 10/2023).
Nous attirons l’attention du grand public sur l’hypertension pulmonaire et sur l’importance de son diagnostic précoce, particulièrement en novembre, mois de la sensibilisation sur cette maladie, et le 5 mai, journée mondiale de l’hypertension pulmonaire.
«Plus l'hypertension pulmonaire est diagnostiquée et traitée rapidement, plus un patient pourra voir sa qualité de vie s’améliorer. Par le biais de notre engagement, nous souhaitons contribuer à faire connaître
et à promouvoir le diagnostic précoce de cette maladie.»
Le 16 juin 2021, MSD a reçu le Swiss LGBTI Label, une certification décernée aux entreprises et organisations adoptant une culture ouverte et inclusive. Cette certification vise à promouvoir l'inclusion des personnes LGBTI sur le lieu de travail et au-delà.
16.06.2021
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Le Swiss LGBTI-Label est un label de qualité pour les organisations basées en Suisse ou pour les organisations suisses qui œuvrent pour l’égalité des personnes LGBTI au sein des entreprises. Le terme LGBTI désigne les personnes qui se différencient de la majorité de la population en termes d’orientation sexuelle ou d’identité de genre.
Diversité et inclusion
Chez MSD Suisse, nous pensons qu’une main-d’œuvre diversifiée et inclusive inspire l’innovation et est fondamentale pour la réussite de notre entreprise. Bien que de grands progrès aient été réalisés en matière de droits LGBTQ+, le chemin est encore long, et nous sommes fiers de contribuer à la réalisation de ces objectifs. MSD a une longue tradition de soutien à la communauté LGBTQ+, dans notre entreprise et au-delà. Disposer d’un environnement composé de personnes issues de différentes dimensions de la diversité nous aide également à mieux comprendre les besoins spécifiques des clients, des prestataires de soins de santé et des patients que nous servons, y compris ceux dont les aptitudes sont différentes.
Le comité exécutif du Swiss LGBTI Label a déclaré:
«Nous félicitons MSD, qui a reçu notre Swiss LGBTI label. Ce label distingue le travail exceptionnel réalisé par MSD dans le but de promouvoir l’égalité et l’inclusion des personnes LGBTI sur le lieu de travail. MSD a passé avec succès une évaluation très complète de l’inclusivité de ses pratiques organisationnelles. Nous saluons le parcours très positif réalisé par MSD, sa contribution au changement positif de la société et son impact au-delà de son secteur.»